Depuis 2016, la CPCU utilise une part majoritaire d’énergies locales, renouvelables et de récupération pour produire la chaleur du réseau de chauffage urbain de la Ville de Paris. Une adaptation industrielle et sociétale en continu concrétisée aujourd’hui par la suppression totale et définitive du charbon.
Résolument engagée dans le soutien de la politique environnementale et climatique de la Ville de Paris, la CPCU œuvre au quotidien à la diversification et au verdissement continu de son mix énergétique.
La part du charbon dans le mix énergétique de la CPCU en 2015 s’élevait à 19%. Divisée par deux en cinq ans pour atteindre 2% en 2023 et remplacée progressivement par de la biomasse, elle disparait totalement du mix en fin de saison de chauffe 2024.
L’usage de biomasse solide sous forme principalement de granulés de bois (pellets) a demandé à la CPCU de faire évoluer son principal site de production de Saint-Ouen :
Cette transition a également nécessité la réunion de conditions majeures :
Toutes les équipes de la CPCU se sont ainsi mobilisées pour atteindre l’objectif de fin du charbon en 2024. Après plus de trois années de tests réguliers, la saison de chauffe 2023-2024 marque la fin définitive du charbon dans le mix énergétique de production de chaleur du réseau de chauffage urbain de la Ville de Paris, remplacé notamment par une biomasse certifiée durable conformément à la règlementation européenne RED II.
